Alors j'ai mis cinquième pinte parce que je ne me soûle jamais à la bière, c'est dégueu et je gerbe (de dégoût) avant, donc comprendre entre 2-3 verres de rhum correctement dosés.

Et par correctement dosés j'entends la moitié du verre.

Réponse 4.

En fait je monte super vite (2 Leffe et je suis chaud), mais ensuite pour passer du stade "chaud" à celui de "bourré" y'a une sacrée marge. Évidemment ça dépend de plein de facteurs (fatigué/en forme, repus/à jeun...), mais en général on peut dire que je tiens bien. Par contre quand j'ai atteint le stade bourré il est déjà trop tard, je ne me suis rendu compte de rien et n'ai donc pu m'arrêter à temps... Mais pourquoi s'arrêter, d'ailleurs ?

J'avoue (et c'est d'ailleurs en y pensant que j'ai eu l'idée du sondage) qu'à partir de la seconde pinte, soit tout de même 1 litre de bière, ben je commence à partir. Je tiens vraiment pas l'alcool !
Par contre vous seriez surpris de voir la quantité de bouffe que je peux ingurgiter. Ce sera pour un prochain sondage tiens...

Je rappelle à tous que selon l'adage, la bière ne devient de l'alcool qu'à partir de 2 litres.

Pour moi je dirais 5/6, après ça dépend de ce que tu appelles bourré : marcher en zig-zag, vomir, mettre la main aux fesses, ... ?

Vu que j'ai nettement calmé ma consommation, j'ai tendance à monter nettement plus vite mais :
- ça dépend de ce que t'appelles bourré
- ça dépend de la fatigue
- ça dépend si j'ai bouffé ou pas
Je dirais en gros vers 3-4 pintes en ce moment.
Vendredi dernier par exemple, bien claqué et à jeun (bouffé un petit sandwich le midi et rien le soir), après 3 pintes, je commençais à être bien joyeux (mais pas bourré).

Avec coni pour nous c'est 3 ou 4 pintes puis une quille de whisky et ensuite on peut normalement aller prendre un train.

je connais pas mes limites, en général je fais tilt d'un coup.

Pour préciser: quand je dis bourré, je parle surtout du moment où on s'aperçoit qu'on n'est plus dans son état normal, pas celui où on se vomit dessus.
Y'a vraiment des disparités importantes entre les gens, j'ai des amis qui ne sont pas alcoolo pour un sou, mais qui ne ressentent pas la moindre perte de contrôle (même si on sait que c'est faux dans l'absolu) avant pas mal de verres.
Contrairement à moi qui commence déjà à rigoler bêtement après deux pintes.

Conikafik a écrit :
je connais pas mes limites, en général je fais tilt d'un coup.

Comme hohun.

Sinon, même à jeun j'ai parfois l'air bourré/drogué.

En même temps, vu tes horaires...

Non mais se bourrer à la bière, faut vraiment avoir envie de passer la nuit aux chiotte quoi.
Par contre si vous voulez, j'ai un petit cognac à 55°, vous m'en direz des nouvelles

Je suis bourré à partir de :
22h ?

(Mais jamais à la bière)

Lama colérique a écrit :
Non mais se bourrer à la bière, faut vraiment avoir envie de passer la nuit aux chiotte quoi.
Par contre si vous voulez, j'ai un petit cognac à 55°, vous m'en direz des nouvelles

Je ne suis jamais bourré. C'est moi qui bourre§

2 guiness, rien. 2 kilkenny, gai. 3ème, je ne sais plus trop tout deviens confu.

Et en nombre de sakés ?

pas testé, enfin ils se bourrent surtout à la bière, qui est hyper chère, genre 3/4 € la canette, la pinte de guiness est à 8,50 €. on trouve aussi des bières européennes de base genre heineken pour 1 €, enfin bon je suis pas venu ici pour me taper de la pisse.
Vu qu'il y a typhon aujourd'hui, je passerai peut-être me prendre une compensation...
sinon whisky, certains des meilleurs du monde sont fait ici, mais 70 € la bouteille pour du 12 ans d'age ça fait mal, sinon ils en font aussi a bas prix, d'après un ami pire que le label 5.
Le problème des sakés est d'arriver à reconnaître les différentes qualités, du coup je vais surement faire l'impasse.

Akshell a écrit :
sinon whisky, certains des meilleurs du monde sont fait ici

Oh ça va le tout c'est de rester à l'abris, sauf que j'ai rien à manger. Va être temps d'aller voir les mammies qui font les bentos à 100 yens. En théorie le plus gros est passé les lignes de trains et de bus repartent il y a juste encore 1 heure de vent à supporter.