Ils trainent dans le coin…
Durant ces cinq dernières minutes, aucun membre n'a été aperçu rôdant sur le site...mardi 15 novembre 2022
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11:41:06
(Pisto)
11:38:02 pardon, je voulais dire "campagne" et non province.. j'suis une sale race de parisien
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11:38:44
(Pisto)
vacances. Pour moi c'est un petit détail qui change pas mal la perception des gens entre eux
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11:38:02
(Pisto)
Le seul probème fondamental sociologique c'est ce mur de verre entre la ville et la province pour les personnes immigrés. Les immigrés n'ont pas accès aux patrimoines familiales de province donc y'a aucune visibilité simple et retournent au bled pour les
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11:36:03
(Pisto)
marchés, surtout en ville ? encore les magrhébins. Bref des gens qui finalement n'ont pas peur de se lever à 5h du mat. Et je parle pas des femmes de ménages. Sans eux, c'est possible qu'on soit dans un monde de MacDo et de StarBucks et de Croustipain
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11:35:00
(Pisto)
Economiquement, je suis lâche et j'aurais même tendance à accepter ces arguments de droite de dumping social. Car qui tient les cafés à Paris ? les chinois. Qui tient les boulangeries ? les magrébhins. Qui tient le tissu économique et sociologique des
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11:27:24
(Pisto)
factuellement c'est faux, bah on arrivera à une fausse légitimité de violence face aux personnes immigrés. Voilà le danger de l'extreme droite mais absolument pas certains de ses arguments JUSTES ! il est là le danger
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11:25:45
(Pisto)
Bref c'est pas tant que l'extreme droite a tort, c'est sa perception et sa hiérarchisation des problèmes le VRAI problème et que finalement, même si on crache sur le capitaliste, si on arrête pas de répéter que le problème est l'immigration alors que
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11:22:09
(Pisto)
qu'on voit chez les jeunes magrehbins qui retournent au bled et se sentent fier d'avoir cette double nationalité. N'importe qui peut dire "jencule la France": un breton, un corse, un manifestant. Notre Histoire n'est pas rose et des plaies sont encore
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11:21:13
(Pisto)
car il voit le problème d'un point de vue "patriotique". On peut très bien dire "j'encule la France" et quand aimé sa vie en France et finalement en être fier. D'ailleurs on le sait et on le sent. Que ce soit dans le foot ou même cette fierté
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11:19:58
(Pisto)
et tout ceux qui pensent que la 2eme génération déteste la France et donc que l'assimilation ne marche pas, ne comprenne rien
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11:17:30
(Pisto)
Cette 1ere vague d'immigration aura toujours du mal à s'adapter. Ca sert à rien de vouloir l'assimiler de force. Seuls les générations futures le seront. Donc oui ça pose des problèmes de compréhension culturelle mais ce qu'il faut dire et répéter:
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11:15:05
(Pisto)
Sans immigration le danger est de finir comme le Japon, même si démocratique, avec cet enfermement sociologique qui me correpond pas et j'en suis bien content.
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11:14:19
(Pisto)
qui transcende les nations. Et il en faut desfois, surtout pour nous. Pas étonnant que les plus grandes démocraties soient toujours les pays qui ont ouverts leurs frontières
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11:13:29
(Pisto)
Il faut se dire que les 1eres vagues migratoires importantes ne font jamais plaisir à personne. Ni pour ceux qui doivent accueillir, ni surtout pour ceux qui quittent leurs pays en guerre. C'est un choix important, humain et surtout un esprit d'ouverture
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11:11:55
(Pisto)
Seulement l'immigration massive que Gwendal expose n'existe pas vraiment. Oui depuis la guerre en Syrie on connait un regain de l'immigration clandestine
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11:10:47
(Pisto)
Personne ne veut d'une immigration massive, aucun peuple aucun pays. Le tissu structurel pourrait être remis en cause. Ceci n'est pas un argument d'extreme droite mais une réalité.
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11:09:12
(Pisto)
on fera bosser des gens qui en demandent pas temps. Oui clairement ça ne peut que favoriser l'inégalité sociale.
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11:08:17
(Pisto)
Oui l'immigration est capitaliste. Même georges marchais et maintenant François Ruffin peuvent se targuer de tenir cette ligne. Le dumping social est une réalité largement voulu par la bourgeoisie de droite. Au lieu d'augmenter les salaires,
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11:06:49
(Pisto)
il y a là un paradoxe de gauche bouregoise qui m'a toujours interloqué. Les mêmes qu'ils envoyaient les slogans condescendants du genre "Touche pas à mon pote" comme si le gars devait fermer sa gueule