"Le problème numéro un est qu'on ne peut pas prédire où l'avion atterrira s'il parvient à revenir sur terre, car il sera emporté par le vent dès qu'il entrera dans la troposphère", a raconté le professeur Suzuki.
Le truc va survivre à trois tours autour du soleil et va finalement se crasher comme une merde dans une ruelle de Melun avant de fondre dans l'eau du caniveau.
"Mon plus grand regret c'est d'avoir refusé Leonardi Di Caprio à mon tournoi de pétanque, j'avais déjà Starsky et Hutch et, à l'époque, il n'avait pas encore fait Titanic." (Daniel Lauclair So Foot)
vendredi 28 mars 2008, 12:14
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(hohun)
10:12:55 wtf... ceci dit, c'est peut-être moins humiliant que le parcours classique de recherche d'emploi (qui est de plus en plus déshumanisé, pour en avoir fait l'expérience récemment c'est une catastrophe)