Je vois plusieurs solutions possibles :

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Pour eux j'aurais privilégié la corde. Pour l'exemple quoi.

Je suis certainement une buse mais je ne comprends strictement rien au blabla de ce genre d'article économique :/

Ce qui est amusant est que l'auteur du blog fut, je cite, Executive Vice President International du New York Stock Exchange.
Rien n'est plus amusant que les anciens libéraux qui se sont goinfrés et qui maintenant donnent des leçons à leurs petits amis encore en activité.

C'est la rédemption mon fils.

Moi aussi je veux bien me repentir autour de la piscine d'une de mes multiples villas.

D'après ce que j'ai compris à la lecture des commentaires, l'auteur n'est pas bien informé car sa proposition est déjà appliquée et visiblement contribue au problème.

Mais surtout, appliquons un coefficient de fonds propres qui tienne compte des risques pris.

hum… et qui va évaluer le risque? Vous n’êtes évidemment pas sans savoir que les actifs toxiques (subprimes) emis par de grandes banques telles que Goldman Sachs avaient une note “AAA”…

La notion de risque c'est un peu comme la pénibilité du travail, c'est réél mais on peut batailler pour le quantifier pendant 43 génération.

Restons sur la notion de volume de fonds propres joués pour calculer le montant à amputer en gros tu bouffes moins de ressources et tu ramène plus ta prime augmente. A l'inverse tu crames la thune en gagnant pas beaucoup tu rames.

Le problème soulevé n'est pas pas là mais plutôt dans le fait que le fait que les organismes chargés d'évaluer les risques sont en affaires avec les 'notés' (ie les notés payent les noteurs)