Et pour se qui est de se laisser emporter par le film, je préfère largement un Lost In Translation (non, pas pour elle, enfin pas totalement) ou un Broken Flowers.
J'ai bien aimé les deux.
Et j'ai réussi à regarder deux fois "Mulholland Drive".
"Profession Reporter". J'en garde le souvenir pénible d'un film dans lequel je ne suis pas du tout entré et durant lequel je me suis fait chier puissance 50. Il faudrait que je retente l'experience (enfin en louant un bon gros blockbuster qui tache le même soir histoire d'assurer mes arrières).
Pas d'ac.
Miss Alzheimer 2007 a oublié de me refiler le DVD en question qui m'aurait permis d'argumenter un tant soi peu.
Mais tu perds rien pour attendre, l'affreux.
Dernière modification le 02/07/07 à 22:21 par carwin
- Starship Troopers : L'exemple type du film que tout le monde adore mais qui me laisse de marbre. Pourtant, j'avoue qu'il y a de l'idée au départ : l'univers dépeint avec ironie (spots télé...), le camp d'entraînement avec Ironside, ça commence fort. Puis ça tourne au dézingage d'insectes pendant une heure jusqu'à l'écœurement, et ça devient donc parfaitement inintéressant, malgré la présence de Denise Richards.
- Blair Witch : faudra m'expliquer en quoi cette grosse daube ennuyeuse à mourir où il ne se passe jamais rien peut faire flipper. L'ambiance ? Haha. Non, sérieusement, il a quoi pour lui ce film à part un hype immérité ?
La prisonnière espagnole, film des années 90, de David Mamet.
Vu il y a fort longtemps, son scénario machiavélique et perdu dans la forme pure (mise en scène façon Oz, plans de caméra recherchés, pour une esthétique à la limite du surréaliste avec ses clairs criants, ses couleurs tranchées...) car refusant le fond "cliché" m'a laissé un souvenir tout à fait unique. On ne saura donc jamais quel est le véritable objet du conflit de cette histoire, cherchant seulement à comprendre les mécanismes de cette machination.
La prisonnière espagnole est une stratégie aux échecs. Le décor est planté.
Dernière modification le 06/01/09 à 16:13 par CelibatMan
En parlant d'Espagne. C'est l'auberge espagnole que j'ai vraiment trouvé nul à chier.
En même temps j'étais dans un avion en direction de la Guadeloupe et je sais pas si j'étais vraiment dans le film.
JiHeM a écrit
- Blair Witch : faudra m'expliquer en quoi cette grosse daube ennuyeuse à mourir où il ne se passe jamais rien peut faire flipper. L'ambiance ? Haha. Non, sérieusement, il a quoi pour lui ce film à part un hype immérité ?
Je me souviens (mais plus qui) qu'on m'avait expliqué qu'à l'époque il y avait eu un buzz terrible dans les universités américaines comme quoi ça aurait été une histoire vraie. Ce qui m'avait renforcé dans l'idée que les américains sont des cons.
Encore que pour Delivrance je serais bien partant pour y croire...
JiHeM a écrit
- Blair Witch : faudra m'expliquer en quoi cette grosse daube ennuyeuse à mourir où il ne se passe jamais rien peut faire flipper. L'ambiance ? Haha. Non, sérieusement, il a quoi pour lui ce film à part un hype immérité ?
Blair Witch, c'est le film de la génération qui n'a pas vu cannibal holocaust.
Par contre, le buzz dans les universités, c'est courant. Ca a été le cas pour la petite boutique des horreurs (l'original en noir et blanc avec Jack Nicholson tout jeune en masochiste qui va chez le dentiste), le film est devenu culte alors qu'il était très peu distribué (petite production).
Nicolas le jardinier