Assez médiocre, si on prend kader de montfermeil il est pas crédible parce qu'il a un passé de délinquant, d'échec scolaire voire même s'est fait piquer en train de fumer un join, si on prend un prof de fac de 50 ans qui n'a jamais été arrêté auparavant on fait de l'élitisme. Donc personne n'est assez bon pour donner son témoignage ? Pourtant ils seront aussi jugé sur leurs antécédents.
Donc X est censé être appréhendé comme Y quelque soit son passif.
Jugé. Après,appréhendé, c'est la police, pas la justice. Séparation des pouvoir,tout ça. Bon,mais ça change rien sur le principe, y'a juste qu'à l'école de police , on n'enseigne pas des valeurs très humanistes.
On parle de la crédibilité du témoignage pour le journaliste et pour le lecteur. Mais vas-y continue à faire ton gros beauf poujadiste, mais va falloir me dire en quoi un prof de philo, une esthéticienne ou le président d'une association d'aide aux sans-papiers constitue des élites...
bah un universitaire, une gérante de société et un activiste humanitaire c'est pas franchement un rmiste ou un petit dealer.
Mais je suis d'accord avec toi (statistiquement ça devait arriver) l'article est par trop orienté.
L'objet de l'article initial n'est pas de décrier les conditions des GAV ça a été amplement débattu mais de montrer que tout le monde peut en souffrir pour queudalle question délit avec un petit côté la maréchaussée bien soutenu depuis quelques temps se croit un poil au western.
Suffit de demander à Donspliff comment ça se passe quand il va à la poste.
Bon, peu importe les témoignages, cet "article" c'est de la merde tout simplement parce qu'on essaye encore de faire de la démonstration par l'exemple, façon micro-trottoir sur TF1.
*vomit*
vendredi 06 février 2009, 20:21
Ajouter un commentaire
Vous devez être identifié pour poster un commentaire.