La seule différence, c'est qu'habituellement, la charge virale remonte quelques semaines après l'arrêt du traitement. Dans ce cas, après 20 mois, le virus reste indécelable.
Pour reprendre un bout de l'article :
Normalement, l'arrêt des médicaments antirétroviraux entraîne en quelques semaines le développement du sida. Jusqu'à aujourd'hui, plus de vingt mois après la greffe réussie, le VIH est indétectable chez ce patient
Super Quetard ! Super Queutard ! Invincible Super Queutard !
"Mon plus grand regret c'est d'avoir refusé Leonardi Di Caprio à mon tournoi de pétanque, j'avais déjà Starsky et Hutch et, à l'époque, il n'avait pas encore fait Titanic." (Daniel Lauclair So Foot)
Dableuf a écrit :
Non,je voulais dire que c'est déjà arrivé (enfin c'est rarissime), c'est juste la 1ère fois que ça arrive dans ces circonstances.
Je me rappelle vaguement d'un truc comme ça il y a quelques temps, mais je ne sais pas si ça a été confirmé. Mais si je me souviens bien, la médecine n'avait rien à voir la dedans, ça s'était fait de manière spontanée. Là, au contraire, il y a eu une tentative médicale de transférer une immunité d'une personne à une autre, et donc de guérir la maladie.
Et donc, si ça se confirme, ce serait la première fois que la médecine réussit à guérir cette maladie.
C'est clair qu'il ne faut pas espérer résoudre le problème du sida par des greffes de moelle osseuse généralisées.
Par contre, ce que semble montrer ce cas, c'est la possibilité de transférer une immunité via cette mutation génétique, et avec le développement de la thérapie génique, ça donne un espoir de traitement pour dans 5 ou dix ans. Ce n'est qu'un espoir, mais c'est peut être le meilleur qu'il y ait eu depuis plus de 20 ans
the real Ben Affleck