Le tueur - tome 6 - Modus Vivendi
article de Ellendhel
, publié le 23 septembre 2007 à 22:53
La nouvelle était passée il y a quelques temps, l'excellente série de bande dessinée "Le tueur" se prolonge dans un sixième tome.
On pouvait penser que les précédentes aventures du tueur étaient terminées et qu'il pouvait profiter de la belle vie au soleil.
Oui mais voilà, l'inactivité, ça use. Donc, petit retour aux affaires, avec quelques contrats.
Bien évidemment, sous un premier abord simple, les "affaires" se corsent rapidement. Notre héros décide d'éclaircir les choses et contacte ses anciens amis, histoire de ne pas se faire bêtement trouer la peau.
On ne découvre toujours pas l'identité du tueur, il nous fait toujours partager ses pensées sur le bien, le mal, Dieu, l'humanité, ... Avec un regard qui reste toujours aussi désabusé et ironique.
On y retrouve bien évidemment Mariano, qui parle toujours trop, et son parrain. La trame est suffisamment complexe pour devoir attendre une suite.
Pour le dessin, pas de surprise, Luc Jacamon garde le même style que dans les épisodes précédents : trait net, couleurs et ombres restituent l'ambiance de l'Amérique du Sud.
Plongez donc dans "Modus Vivendi". Si vous hésitez à débourser moins de 10 Euros, vous pouvez lire les premières planches sur le site de Casterman.
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On pouvait penser que les précédentes aventures du tueur étaient terminées et qu'il pouvait profiter de la belle vie au soleil.
Oui mais voilà, l'inactivité, ça use. Donc, petit retour aux affaires, avec quelques contrats.
Bien évidemment, sous un premier abord simple, les "affaires" se corsent rapidement. Notre héros décide d'éclaircir les choses et contacte ses anciens amis, histoire de ne pas se faire bêtement trouer la peau.
On ne découvre toujours pas l'identité du tueur, il nous fait toujours partager ses pensées sur le bien, le mal, Dieu, l'humanité, ... Avec un regard qui reste toujours aussi désabusé et ironique.
On y retrouve bien évidemment Mariano, qui parle toujours trop, et son parrain. La trame est suffisamment complexe pour devoir attendre une suite.
Pour le dessin, pas de surprise, Luc Jacamon garde le même style que dans les épisodes précédents : trait net, couleurs et ombres restituent l'ambiance de l'Amérique du Sud.
Plongez donc dans "Modus Vivendi". Si vous hésitez à débourser moins de 10 Euros, vous pouvez lire les premières planches sur le site de Casterman.
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Monsterkill...
article de alice_claire
, publié le 17 avril 2007 à 12:42
C'est de la merde. On s'en doutait, mais c'est à nouveau prouvé, c'est vraiment de la merde. La culture américaine, si tant est qu'on puisse la qualifier ainsi, est vraiment à jeter.
Bâti sur un génocide, le pays continue d'honorer sa tradition séculaire, et les étudiants morts à Virginia Tech, forts de leur "plus grand nombre de mass murdered en une fois" (sans bouger les oreilles), viennent aujourd'hui grossir les rangs des morts pour rien.
Comme à chaque fois qu'il y a une tuerie de ce genre, l'ombre de la bienpensance républicaine et les relents de l'ultra-conservatisme américain viennent plomber (c'est le mot) l'ambiance en pointant du doigt un coupable tout désigné : le jeu vidéo. Les associations de familles blanches catholiques intégristes racistes (pour la rime) agitent à nouveau leurs sabres de bois afin de dénoncer, après les seins de Lara Croft, l'immonde influence sanglante du FPS sur l'intérieur de leurs chères petites têtes blondes (et obèses). Il faut effectivement dire que ces dernières se caractérisant par leur vacuité, sont enclines à se remplir de n'importe quoi : frites, crème glacée, baseball, Bush, Fox news...
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Bâti sur un génocide, le pays continue d'honorer sa tradition séculaire, et les étudiants morts à Virginia Tech, forts de leur "plus grand nombre de mass murdered en une fois" (sans bouger les oreilles), viennent aujourd'hui grossir les rangs des morts pour rien.
Comme à chaque fois qu'il y a une tuerie de ce genre, l'ombre de la bienpensance républicaine et les relents de l'ultra-conservatisme américain viennent plomber (c'est le mot) l'ambiance en pointant du doigt un coupable tout désigné : le jeu vidéo. Les associations de familles blanches catholiques intégristes racistes (pour la rime) agitent à nouveau leurs sabres de bois afin de dénoncer, après les seins de Lara Croft, l'immonde influence sanglante du FPS sur l'intérieur de leurs chères petites têtes blondes (et obèses). Il faut effectivement dire que ces dernières se caractérisant par leur vacuité, sont enclines à se remplir de n'importe quoi : frites, crème glacée, baseball, Bush, Fox news...
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Cantine War Ep I. De la cellule à l'assiette.
news de Redrum
, publié le 14 juin 2006 à 14:08
Le plein de sang plomb
article de Dableuf
, publié le 16 mai 2006 à 16:57
Après avoir présenté les différentes armées de l'univers Rackham dans ce superbe article, il est temps de plonger les mains dans le cambouis et de s'intéresser au jeu : "Dis Jérôme, Confrontation(tm), comment ça marche ?"
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Critique BD : Le Tueur
article de Ellendhel
, publié le 08 mars 2006 à 01:22
Le monde n'est peuplé que de richards prêts à tout pour gagner plus de fric, de politicards véreux et de quelques jolies filles. Mais au-dessus de tout cela on trouve le tueur. Lui accepte de faire le sale boulot, sans remords.
Entre Paris, la jungle de New-York ou celle d'Amérique du Sud, vous serez aux côtés du tueur, à partager ses pensées.
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Entre Paris, la jungle de New-York ou celle d'Amérique du Sud, vous serez aux côtés du tueur, à partager ses pensées.
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