Les colles de la vie - Accoudés au zinc...
J'avais vu ca en cours, en fait, si tu prends de l'eau froide et que tu la places dans un congel qui ne vibre pas trop l'eau froide va se trouver en surfusion, c'est à dire qu'elle aura une température inférieure a 0°C mais sans geler.
Alors que si tu prends de l'eau chaude, à cause de l'agitation thermique (les molécules d'eau bougent pas mal), cette eau ne pourra pas atteindre cet état de surfusion et gelera plus vite.
Une expérience pouvant être "marrante" serait de mettre de l'eau froide en surfusion, de donner un petit coup dans le récipient et de voir l'eau se geler d'un coup dans son récipient. Selon certaines sources, ca serait "foutrement impressionant" mais cela reste à vérifier.
Enfin bref ca serait une des explications, mais vu que c'est celle que je connais et que j'aimerais un jour briller en société je la gardes sous le coude, au cas ou.
<insert joke here, c'est le matin et j'ai pas trouvé de chute potable pour ce post>
24 février 2006 à 07:32
J'ai entendu une légende avec de la flotte en surfusion. Il y a assez longtemps, dans la lointaine et froide Sibérie, se trouvait de très grandes flaques (ou de très petits lacs) d'eau en surfusion. C'est alors qu'une cavalerie qu'une armée quelconque eût la bonne idée de passer à travers ces grandes flaques. Ce qui eut pour effet de le geler instantanément, avec les chevaux et sûrement quelques hommes.
Etonnant, non ?
24 février 2006 à 14:24
Je connais la biere en surfusion. L'effet de decompression des gaz prend à ce moment toute son importance. Au venezuela dans la brouse, ces debiles gardent les canettes dans des congelos. Alors tu decapsules, tu bois le plus vite que tu peux et tout d'un coup tu entends un petit bruit. C'est le bloc de glace qui vient de glisser depuis le fond de la canette pour venir t'exploser les levres et les dents. Apres tu poses ta boite au soleil, tu tapes une petite discution en attendant de pouvoir finir ta bibine. Moi qui aime la biere chambrée !
24 février 2006 à 14:38
Pour faire un étron plus vrai que nature, il suffit d'avoir en sa possession:
- des tranches de pain d'épices
- du café froid (bien noir, le café)
Tremper une à deux minutes les tranches de pain d'épices dans le café. Les malaxer tendrement jusqu'à obtenir une pâte légèrement visqueuse. Donner à cette pâte la forme d'un boudin, plus ou moins long selon la taille souhaitée. Laissez sécher sur une surface plane. (En hiver pour obtenir un effet fûmant (l'espace d'un instant), le café chaud est vivement conseillé).
Le résultat est confondant. Cette recette est testée et approuvée par les plus grands accessoiristes amateurs.
Avec ça, vous réussirez à coup sûr vos blagues et/ou pourrez réaliser de petits films rigolos de très bon goût.
27 février 2006 à 00:06
Ce moment de culture etait commandité par Prosper !
27 février 2006 à 00:58
Certaines personnes ont la dernière phalange du pouce qui s'étire a quasiment 90°, sans effort spécial, ni antécédents spéciaux. J'en suis. Mon prof de physique aussi.
01 mars 2006 à 03:17
Ouais mon pere m'avait dit le nom de la raison. Hyperlaxité de mes deux de ché pas où. C'est le meme truc, surtout visible chez les filles, que de plier son coude à 30 degré dans l'autre sens. Une copine qui faisait ca. Elle embrassait bien en plus.
Quand on "debouche" une taupiniere en enlevant la terre d'une motte, la taupe vient rapidement refermer le trou (quand elle n'est pas trop loin naturellement). Elle detecte le courant d'air qui lui indique qu'un predateur pourrait venir dans son antre. C'est un bon truc pour les observer ... ou les tirer au douze juste pour rire (attention au coup de soleil batard dans le dos !).
01 mars 2006 à 03:36
reblochon a écrit
Ouais mon pere m'avait dit le nom de la raison. Hyperlaxité de mes deux de ché pas où. C'est le meme truc, surtout visible chez les filles, que de plier son coude à 30 degré dans l'autre sens. Une copine qui faisait ca. Elle embrassait bien en plus.
Ca se peut, ma mère l'était, et je suis vraiment souple pour un mec. Mais pas au point de renverser mon coude a ce point ^^
01 mars 2006 à 12:18
Deubeul'post caca.
Dernière modification le 01/03/06 à 12:19 par ariankh
01 mars 2006 à 12:18
Causes de Pearl harbor:
Le 7 décembre 1941 (heure locale, ou 8 décembre à l'heure du Japon), tôt le matin, les avions de l'aéronavale japonaise lancèrent une attaque surprise sur la base américaine de Pearl Harbor, située dans l'archipel d'Hawaii, dans le Pacifique.
Autant le raid nippon fut surprenant pour les Américains, autant la préparation en avait été minutieuse et de longue haleine. Depuis le début des années 30 le Japon projetait, à l’instar du régime nazi, de dominer l'Asie orientale afin d'en faire un territoire sans aucune influence ni présence blanche sur son territoire. Pour arriver à ce but, il devait cependant restreindre les risques d'une opposition des troupes américaines postées un peu partout dans cette partie du Pacifique. Les États-Unis en eurent vent, ce qui poussa Roosevelt à envoyer une partie de sa flotte de guerre à Pearl Harbor, afin de surveiller les déplacements japonais et de prévenir d'éventuelles attaques sur les îles convoitées.
Entre-temps, en 1937, le Japon entre en guerre contre la Chine. Les États-Unis réclamèrent alors le retrait des troupes nippones du territoire chinois et le respect de l'inviolabilité des territoires. Mais les troupes japonaises continuèrent à progresser dans leur invasion de la Chine. Les États-Unis tentèrent de les en dissuader en décrét[ant] une série de sanctions économiques contre le Japon, dont le gel de ses avoirs aux États-Unis et un embargo sur l'acier et le pétrole, ce qui ne fit qu’attiser la rancune des Japonais envers les Américains.
Lors d'une Conférence impériale tenue le 6 septembre 1941, il fut décidé qu'à moins qu'un accord ne soit trouvé à bref délai avec les États-Unis, une guerre serait entreprise contre les États-Unis et la Grande Bretagne.
Le 16 octobre, le Premier ministre Konoye, sans doute jugé trop mou, démissionne et est remplacé par le général Tojo, un ferme partisan de la guerre.
Sans même attendre la fin des pourparlers auxquels ils ne croient plus, les Japonais commencent à préparer leurs plans au point que, « le 5 novembre 1941, le Premier ministre Tojo convoque le commandant en chef de la flotte combinée, l’amiral Isoroku Yamamoto, et lui ordonne de préparer un plan d’attaque de la base navale américaine de Pearl Harbor ».
L'idée générale qui préside à cette attaque est de détruire la flotte américaine stationnée à Pearl Harbor, afin d'empêcher les États-Unis d'interférer avec la campagne d'invasion de tout le Pacifique occidental et de l'Asie du Sud-est que le Japon a préparée.
Le 26 novembre, alors que les deux gouvernements sont encore en pourparlers, 31 bâtiments de guerre quittent secrètement le Japon en direction d'Hawaï. Lorsque la flotte reçoit l'ordre officiel d'attaque le 2 décembre, les pourparlers se poursuivent encore.
(wikipedia)
02 mars 2006 à 09:27
Une anecdote de ma prof de civi américaine, à vérifier : le jour de l'attaque, les américains attendaient un ravitaillement. Les opérateurs radars ne comprenaient donc pas pourquoi lesdits vaisseaux arrivaient en sens contraire de d'habitude...
02 mars 2006 à 13:00
On dit meme que Churchill l'aurait su et l'avait annoncé a Roosevelt, qui a laissé faire y voyant une raison valable de rentrer en guerre.
02 mars 2006 à 16:23
On dit même que, comme par hasard, il n'y avait aucun juif dans les bateaux ce jour là.
02 mars 2006 à 17:20
N'empèche que sans Pearl Harbour, on aurait jamais eu Buck Danny donc bon...
A chaque chose, malheur est bon.
02 mars 2006 à 19:34
Il paraîtrait que Buck Danny c'est nul.
La négation "pas" est une généralisation de l'époque où l'on utilisait, pour la négation, un mot lié au mot nié : je ne bois goutte, je ne dis mot, je ne marche pas...les autres tournures existent toujours, mais c'est le "pas" qui s'est généralisé. La négation "pas" réfère donc bel et bien au mot "pas" (du pied)
02 mars 2006 à 19:44
hohun a écrit
Il paraîtrait que Buck Danny c'est nul.
Sacrilège !
02 mars 2006 à 21:27
hohun a écrit
Il paraîtrait que Buck Danny c'est nul.
La négation "pas" est une généralisation de l'époque où l'on utilisait, pour la négation, un mot lié au mot nié : je ne bois goutte, je ne dis mot, je ne marche pas...les autres tournures existent toujours, mais c'est le "pas" qui s'est généralisé. La négation "pas" réfère donc bel et bien au mot "pas" (du pied)
Mais pourquoi 'pas'?
03 mars 2006 à 00:30
lazykiller a écrithohun a écrit
Il paraîtrait que Buck Danny c'est nul.
La négation "pas" est une généralisation de l'époque où l'on utilisait, pour la négation, un mot lié au mot nié : je ne bois goutte, je ne dis mot, je ne marche pas...les autres tournures existent toujours, mais c'est le "pas" qui s'est généralisé. La négation "pas" réfère donc bel et bien au mot "pas" (du pied)
Mais pourquoi 'pas'?
Demande aux us.
03 mars 2006 à 10:07
Moteur (de recherche)
Yahoo, ou Voilà, sont des moteurs de recherche, c'est-à-dire des sites web sur lesquels on peut trouver l'adresse d'autres sites web en entrant un ou des mots-clés. On comprend bien recherche, mais pourquoi moteur ? C'est une histoire de fausse piste. Depuis une quarantaine d'années, le mot désigne en informatique un gros programme (quand il est petit, un moteur est une routine) capable d'accomplir une même tâche dans des contextes différents. Par exemple, dans un jeu vidéo, le moteur 3D, est le programme qui s'occupe d'afficher, le plus vite et le mieux possible, l'image engendrée par le programme principal. Il peut servir à afficher du basket comme du football. Il y a comme ça des moteurs d'inférence en intelligence artificielle, des moteurs de base de données, et ainsi de suite. Des programmes commerciaux différents peuvent être secrètement animés par le même moteur. Le monde du logiciel, immatériel, a procédé par analogie avec le monde matériel des machines, où un moteur est une pièce qu'on peut monter et démonter et appliquer à différentes tâches, couper du bois, déplacer une automobile, pomper de l'eau. Moteur est ici une traduction de l'anglais engine. C'est là où ça se complique. Car engine en anglais comme moteur en français ont pris leur sens principal parallèlement, au début de la première révolution industrielle. Owen, le véritable inventeur de la machine à vapeur (steam engine) dépose son brevet en 1713. Par la suite, les deux mots désigneront chacun de leur côté un dispositif, une machine qui transforme l'énergie en mouvement. Le français a privilégié cette notion de mouvement, dont moteur partage la racine, le latin movere. L'anglais a été plus ingénu, plus génial, plus ingénieux, trois adjectifs qui, comme engine, viennent du latin ingenium, qui veut dire disposition naturelle. Mais, du latin à l'anglais, le français avait servi d'intermédiaire avec engin, qui subsiste encore. Or un engin, à la fin du Moyen-Age était devenu une ruse, un dispositif militaire, et, en anglais, un instrument de torture. Des deux voies suivies par les deux langues cousines, la française était la plus plate, logique certes, mais descriptive. L'anglaise était plus rusée, plus dense en connotations. Le français a bien sûr le génie, des ingénieurs, des ingénues, mais il a dû réimporter l'ingénierie et il a écarté bien loin de tout cela les moteurs. Et du coup, moteur de recherche ne se comprend guère plus que comme une traduction. L'informatique pourtant avait prévenu longtemps à l'avance. On s'accorde à lui reconnaître deux grand-pères, l'un français, Blaise Pascal, et l'autre anglais, Charles Babbage. En 1642 Pascal avait inventé sa machine d'arithmétique., ancêtre des calculatrices. Deux siècles plus tard, en 1844, Babbage conçut le premier ordinateur (la preuve, il ne marcha jamais), une espèce de machine de Pascal perfectionnée et programmable avec des cartes perforées. Il la baptisa analytical engine, soit moteur analytique. Déjà. Pourquoi n'a t'on pas vu à l'époque qu'engine (engin) avait un destin plus vaste que moteur ? En fait on l'avait bien vu, mais on était sur une fausse piste : engin, depuis le 17° siècle, désignait chez nous le sexe masculin. Ach, zé vranzais, touchour la rigolade.
url : http://www.clve.fr/sabircyber/moteur.htm
Dernière modification le 03/03/06 à 16:01 par AlbertE
03 mars 2006 à 10:31
Rebloch', tu l'connais le zoziau... une fois lancé, on l'arrête plus.
N'empêche qu'il a quand même réussi à me scotcher à 10 cms de mon nezcran pendant toute la lecture (de peur de manquer une seule ligne)!
03 mars 2006 à 18:33
hohun a écrit
Il paraîtrait que Buck Danny c'est nul.
eh oh c'est pas la caverne ici!
03 mars 2006 à 23:24
KtuLulu a écrit
Pour faire un étron plus vrai que nature, il suffit d'avoir en sa possession:
- des tranches de pain d'épices
- du café froid (bien noir, le café)
Tremper une à deux minutes les tranches de pain d'épices dans le café. Les malaxer tendrement jusqu'à obtenir une pâte légèrement visqueuse. Donner à cette pâte la forme d'un boudin, plus ou moins long selon la taille souhaitée. Laissez sécher sur une surface plane. (En hiver pour obtenir un effet fûmant (l'espace d'un instant), le café chaud est vivement conseillé).
Le résultat est confondant. Cette recette est testée et approuvée par les plus grands accessoiristes amateurs.
Avec ça, vous réussirez à coup sûr vos blagues et/ou pourrez réaliser de petits films rigolos de très bon goût.
AH AH
Il faut absolument que je le fasse.
04 mars 2006 à 16:26
Vu de mes yeux vus sur les plaques d'immatriculation lors d'un voyage au Liban:
Wikipedia: "Les chiffres dits « arabes », qui furent d'abord utilisés en France puis dans toute l'Europe et enfin dans le monde entier, sont en réalité des chiffres indiens : ils sont nés en Inde. Ils ont été décrits dans un ouvrage d'Al Khawarizmi, et ont été probablement transmis à l'Europe depuis l'Andalousie musulmane vers la fin du Xe siècle grâce à l'enseignement du calcul sur abacus, tel que pratiqué par les Arabes. On en trouve des attestations claires dans le Liber abaci de Fibonacci, datant de 1202. Ce sont des logogrammes.
Alors d'emploi très limité, l'utilisation de ces chiffres dits « arabes » (alors que les Arabes, les nomment, à juste titre, « chiffres hindîs ») n'a vraiment commencé à se généraliser en Europe et dans le monde arabe qu'au XIIe siècle. Leur tracé définitif est attesté dès le XVe siècle. Il est à noter que ces chiffres dits "arabes" sont utilisés dans le sudoku pour bien faire chier hohun.
Voici une comparaison rapide entre les tracés actuels de nos chiffres « arabes » par rapport aux chiffres que les Arabes utilisent (ou « chiffres hindî ») et les chiffres tels que tracés dans plusieurs écritures indiennes. Il faut noter que les pays du Maghreb utilisent les tracés modernes contrairement au pays du Machrek (ou moyen orient). Ce type de tracé spécifique a d'ailleurs été probablement inventé au Maghreb (ou bien en Andalousie).
Le mot « chiffre », utilisé d'abord pour signifier « zéro », vient de l'arabe sifr, qui signifie « le vide ». Le mot zéro vient du même étymon arabe, mais sous la forme que lui donnaient les Italiens au XVe siècle, soit zefiro puis zero. C'est la traduction littérale du 0 sanskrit, ou shunya « vide »).
Le 0 est également un invention indienne (Ve siècle)."
Dernière modification le 06/03/06 à 22:23 par KtuLulu
06 mars 2006 à 22:22
Quelques malades célèbres (nous n'aborderons pas ici les célèbre malades internés ici-bas, de peur de les fâcher, quoique)
Chapitre 1: Les maladies nerveuses et mentales (pour les définitions des maladies merci de vous taper le dico, on n'est pas à l'armée du Salut non plus)
Agoraphobie: Le Nôtre
Amnésie: Ampère, Beethoven, Diderot
Dédoublement de la personnalité: Musset, Franky Riviera
Epilepsie: Britannicus, César, Dostoïevski, Flaubert, Molière, Pétrarque, Pierre Le Grand
"Folie": Caligula, Charles VI, Héliogabale, Jeanne La Folle (cqfd), Louis II de Bavière, Maupassant, Nietzsche, Otton Ier de Grèce, Paul Ier de Russie, Pierre III de Russie, Van Gogh, Le Tasse, Feydau
Hallucinations: Cellini, César (encore lui), Reblochon, Christophe Colomb, Cromwell, Goethe, Napoléon
Mégalomanie: Giordano Bruno, Auguste Comte, Dante, Gatling
Mélancolie, tristesse :Chopin, Molière, Voltaire, Ariankh
Obsession, doute: Leopardi, Manzoni, CéKaka
Paranoïa: Jean-Jacques Rousseau, Nynjardin
Phobies: Pascal
Porphyrie: Familles royales d'Angleterre
Psychose maniaco-dépressive: Gérard de Nerval, Robert Schumann
Ont été considérés comme "névropathes": Baudelaire, Byron, Chateaubriand, Schopenhauer, Shelley, Wagner
Dernière modification le 07/03/06 à 13:14 par lazykiller
06 mars 2006 à 23:11
Et tu oublies la plus célèbres des schizophrènes de France, Jeanne d'Arc, adulée par un tas d'arriérés.
En tout cas elle présente tous les symptômes.
07 mars 2006 à 09:14
oui, il en manque pas mal je sais, y a aussi Lénine dans la catégorie névropathe... Pour Jeanne d'Arc on n'est pas loin de l'hystérie non plus, mais bon tout ça, tout ça, je ne suis pas psychiatre ni modérateur... alors c'que j'en sais...
07 mars 2006 à 13:19
Vous trouvez ça chiant et con, d'avoir à attendre 18 minutes de blanc complet pour avoir le dernier morceau d'un album, la "hidden track", et ben vous avez tort. Et le tort tue.
Les gens qui font ça sur leur CD sont hautement recommendables : ça leur permet d'utiliser toute la capacité mémoire du CD, et du coup, les maisons de disques n'ont plus de place pour mettre leur copy controlled ou autres merdes.
(Merci à Alexis HK pour m'avoir expliqué ça un jour, autour d'une bière)
07 mars 2006 à 20:54
lazykiller a écrit
Mélancolie, tristesse :Chopin, Molière, Voltaire, Ariankh
Je proteste : je tends plus vers la bipolarité, cad humeur dépressive un jour, radieuse le suivant. Ou l'inverse, seulement je suis moins causeux en mes grands jours, je blende.
Et Gatling est pas mégalomane. Il est juste honnête. (dégueu la boue)
Dernière modification le 07/03/06 à 21:47 par ariankh
07 mars 2006 à 21:23
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Joe Le Mérou