Hahum, ah ben là, il y a de l'article de qualitay. En même temps c'est écrit par un flic, ceci explique cela (dans le genre, gros tissus de conneries, il a fait fort le type).

Et dans le cas où le mec filme parce qu'il sait qu'il n'a aucune chance contre eux, en espérant que sa vidéo permettra de retrouver les agresseurs ?

il manque un lien afin de désigner et lire la loi pour l'interpréter dans l'article du monsieur qui prouverait que ce qu'il exprime est vrai

pas lama colérique mais de l'autre monsieur

parce que sinon c'est juste énorme enfin là c'est trop gros

plus rien ne m'étonne, puisque j'en suis a poster ici tellement j'ai envie de révolte

Je ne sais pas si Eolas en a fait un billet mais j'ai trouvé cette annotation de commentaire (là) :

Le vendredi 30 janvier 2009 à 18:56, par DM

Tout ceci me rappelle l'amendement "anti happy slapping" qui, littéralement, interdit également à un simple citoyen non journaliste de filmer par exemple des violences policières. Lorsque nous avions réagi à son sujet, on nous avait assuré que les tribunaux sauraient interpréter la loi au regard de l'intention du législateur apparente dans les débats parlementaires...

À part cela, le droit pénal est d'interprétation stricte!

Eolas:
Et vous avez beaucoup entendu parler d'applications de ce texte ?

bah encore une fois ca sert a ca d'avoir un juge et pas un robot, le juge est cense faire la part des choses, entre un complice qui filme son pote qui viole monique, et un gars qui filme les abus de la police dans un lieu public.