Peines de Maures / Arc-en-ciel pour Daltoniens
article de Binouze
, publié le 10 février 2006 à 00:29
Bon, on cherchait l'album français de l'année, et on l'a trouvé. Les frangins de Noisy le keus, Hi-Tekk et Nikk fury nous auront fais attendre, mais ça en valait le coup. Asphalte Hurlante, leur premier album (2001) avait plus ou moins concrétisé l'émergence de la nouvelle scène française et ses influences plus variées, caractérisé par les TTC, James Delleck et co. Eh oui, ça annonçait l'arrivée de perles comme Cadavre exquis (l'armée des 12), le magnifique Buffet des anciens élèves, bâtards sensibles, et bien sur ce double album Peine de Maures/Arc-en-ciel pour daltoniens. A noter leur association en 2002 avec château flight (crash test) qui avait bien marché et leur avait permis de se faire connaître à l’étranger.
Petite mise en contexte. La caution, c'est de la projections d'images de toutes natures, des métaphores tenaces, un discourt militant qui ne tombe pas dans la facilité, ce qui est si fréquent dans le genre. Hi tekk vomit son flow lourd et roque, s'adonne volontiers à la déstructuration pour créer des phases étonnantes. Nikk Fury, lui, à l'inverse du rouleau compresseur qu'il a pour frère, évolue avec agilité et une sublime aisance lyricale. Sans trop s'avancer on peut admettre facilement qu'il fait partie de la crème des MC techniques. Quand nikk prend le mic, les syllabes pètent de partout, les intonations écrasent les beats tellement ils sont appuyés. Sprinter du Mic, il boucle son couplet en 2 inspirations (pour exemple, on peut citer "souvent" et "casquette grise" de premier opus). Bref, vous l'aurez compris, ces deux là ont de la ressource. A un tel point que le style est même apprécié par les non francophones : les intonations et consonances étant très travaillées, on peut apprécier le tout sans se soucier des paroles (mais bon, ce serait tout de même très dommage).
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Petite mise en contexte. La caution, c'est de la projections d'images de toutes natures, des métaphores tenaces, un discourt militant qui ne tombe pas dans la facilité, ce qui est si fréquent dans le genre. Hi tekk vomit son flow lourd et roque, s'adonne volontiers à la déstructuration pour créer des phases étonnantes. Nikk Fury, lui, à l'inverse du rouleau compresseur qu'il a pour frère, évolue avec agilité et une sublime aisance lyricale. Sans trop s'avancer on peut admettre facilement qu'il fait partie de la crème des MC techniques. Quand nikk prend le mic, les syllabes pètent de partout, les intonations écrasent les beats tellement ils sont appuyés. Sprinter du Mic, il boucle son couplet en 2 inspirations (pour exemple, on peut citer "souvent" et "casquette grise" de premier opus). Bref, vous l'aurez compris, ces deux là ont de la ressource. A un tel point que le style est même apprécié par les non francophones : les intonations et consonances étant très travaillées, on peut apprécier le tout sans se soucier des paroles (mais bon, ce serait tout de même très dommage).
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Film : Monster
article de Niourk
, publié le 10 février 2006 à 00:29
Monster a le mérite de porter un titre qui ne reflète pas le vrai dedans du film. Basé sur l'histoire vraie d'une des premières « serial killeuse » répertoriée au Pays de la Liberté, Aileen Wuornos, Monster retrace la descente aux enfers de cette femme pour qui le bonheur n'est qu'un mot répertorié en B dans le dictionnaire. Pourrait-on même parler de descente aux enfers lorsque on était déjà au fond à la naissance? Violée à 8 ans, prostituée depuis ses 13 ans, bêta testeuse de Daïkatana... bref il faut avoir le moral ou carburer au taz pour attaquer le visionage de ce film.
Aileen Wuornos (Charlize Theron) n'est qu'une vagabonde faisant le tapin au bord des routes lorsqu'elle échoue un jour dans un coin paumé (Michigan ? Idaho ? je sais plus). Un soir, elle compte bien sur l'ami Gnole pour oublier sa condition de paumée, le hasard faisant que le point de rendez-vous avec cet ami se fait dans un rade gay tout pourri. C'est dans ce cadre romantique qu'elle est accostée par Selby (Christina Ricci), jeune innocente en conflit avec ses vieux, accessoirement homosexuelle face à la rigidité d'une famille bigote. Les deux femmes se lient d'amitié malgré la misanthropie exacerbée d'Ailleen qui, refrénant à son insu une lichette d'espoir, retrouve foi en l'amour dans les bras de cette jeunette paumée, seule à estimer un tant soi peu cette femme que le monde entier dénigre.
L'amour donne des ailes, Aileen se prend à faire des projets : un job, un toit... elle se met en quête de stabilité mais la réalité des choses lui revient en pleine gueule : aux yeux du monde, elle n'est qu'une pute et restera une pute. Tout pas comme Jésus, elle recoit une gifle mais decide de répliquer avec des pains. Du genre 44 Magnum dans le paletot de ses clients furtifs. Ce qui la mènera droit à la veuve 100000volt. Ainsi sonnera le glas d'une femme au destin gravé dans la merde.
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Aileen Wuornos (Charlize Theron) n'est qu'une vagabonde faisant le tapin au bord des routes lorsqu'elle échoue un jour dans un coin paumé (Michigan ? Idaho ? je sais plus). Un soir, elle compte bien sur l'ami Gnole pour oublier sa condition de paumée, le hasard faisant que le point de rendez-vous avec cet ami se fait dans un rade gay tout pourri. C'est dans ce cadre romantique qu'elle est accostée par Selby (Christina Ricci), jeune innocente en conflit avec ses vieux, accessoirement homosexuelle face à la rigidité d'une famille bigote. Les deux femmes se lient d'amitié malgré la misanthropie exacerbée d'Ailleen qui, refrénant à son insu une lichette d'espoir, retrouve foi en l'amour dans les bras de cette jeunette paumée, seule à estimer un tant soi peu cette femme que le monde entier dénigre.
L'amour donne des ailes, Aileen se prend à faire des projets : un job, un toit... elle se met en quête de stabilité mais la réalité des choses lui revient en pleine gueule : aux yeux du monde, elle n'est qu'une pute et restera une pute. Tout pas comme Jésus, elle recoit une gifle mais decide de répliquer avec des pains. Du genre 44 Magnum dans le paletot de ses clients furtifs. Ce qui la mènera droit à la veuve 100000volt. Ainsi sonnera le glas d'une femme au destin gravé dans la merde.
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Test : Balance
article de Def
, publié le 10 février 2006 à 00:29
Sorti il y un peu plus d'un an en Angleterre et en Allemagne, Ballance n'a malheureusement jamais vu le jour chez nous. Partant d'un concept très simple en provenance directe de Marble Madness et autres ancêtres, le petit jeu de Cyparade est une bonne bouffée d'air frais qui se consomme avec plaisir entre deux gros fps.
Le but est d'amener à la fin d'un labyrinthe suspendu dans le vide une boule que l'on contrôle au clavier. La subtilité de la chose est que notre boule pour prendre 3 formes différentes en passant sur certaines cases.
Chacune de ses formes a ses propres spécificités et surtout une masse différentes qui change entièrement la maniabilité de notre sphère. La boule de papier est trop légère pour certains obstacles mais peut voler sur les ventilateurs. Celle de pierre est, au contraire, trop lourde pour s'envoler mais son poids lui permet de se frayer un chemin là où le passage est obstrué. Pour terminer, la boule en bois est un compromis entre les 2.
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Le but est d'amener à la fin d'un labyrinthe suspendu dans le vide une boule que l'on contrôle au clavier. La subtilité de la chose est que notre boule pour prendre 3 formes différentes en passant sur certaines cases.
Chacune de ses formes a ses propres spécificités et surtout une masse différentes qui change entièrement la maniabilité de notre sphère. La boule de papier est trop légère pour certains obstacles mais peut voler sur les ventilateurs. Celle de pierre est, au contraire, trop lourde pour s'envoler mais son poids lui permet de se frayer un chemin là où le passage est obstrué. Pour terminer, la boule en bois est un compromis entre les 2.
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Trackmania Original
article de Ouamdu
, publié le 10 février 2006 à 00:29
Bon, on l'a dit et redit, Trackmania, c'est d'la balle, c'est trop d'la balle, sur la vie d'ma reum. V'la-t-y pas que les gars de chez Nadeo sortent un gros patch pour la premiere version du jeu. Gros patch qui a plus l'allure d'une extention à part entière, d'ailleurs.
Bon déjà, graphiquement, le jeu est remis au goût du jour et bénéficie de tous les effets top moumoute du moteur de Trackmania Sunrise, afin de cordialement chatouiller la rétine du joueur. Mais ce n'est pas tout, oulà non, puisque Original ajoute aussi deux modes de jeux.
Le premier, Plateforme, a déjà été vu dans Sunrise : il s'agit de circuits complètement tordus, le but n'état pas d'y réaliser le meilleur temps, mais d'arriver au bout, et ce en moins d'essais possible.
Le petit nouveau, en fait, c'est Stunt, et Stunt, ça pougne. Dans ce mode de jeu, vous devez réaliser un max de figures sur un circuit, tout en passant par les checkpoints, le tout bien évidemment dans un temps imparti. Pour en avoir fait quelques heures, croyez moi, c'est du fnu à l'état pur.
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Bon déjà, graphiquement, le jeu est remis au goût du jour et bénéficie de tous les effets top moumoute du moteur de Trackmania Sunrise, afin de cordialement chatouiller la rétine du joueur. Mais ce n'est pas tout, oulà non, puisque Original ajoute aussi deux modes de jeux.
Le premier, Plateforme, a déjà été vu dans Sunrise : il s'agit de circuits complètement tordus, le but n'état pas d'y réaliser le meilleur temps, mais d'arriver au bout, et ce en moins d'essais possible.
Le petit nouveau, en fait, c'est Stunt, et Stunt, ça pougne. Dans ce mode de jeu, vous devez réaliser un max de figures sur un circuit, tout en passant par les checkpoints, le tout bien évidemment dans un temps imparti. Pour en avoir fait quelques heures, croyez moi, c'est du fnu à l'état pur.
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Test : Fable : The Lost Chapters
article de Def
, publié le 10 février 2006 à 00:28
Fable 1er du nom, sorti il y a 1 an sur xbox nous revient dans une version Lost Chatpers sur PC et xbox. C'est pour nous, joueurs sans grave handicap physique, l'opportunité de tester "le plus grand jeu de rôle de tous les temps".
L'histoire du jeu nous plonge, avec une originalité sans faille, dans la peau d'un jeune garçon voyant sa famille se faire tuer par des bandits devenir un héros après avoir été recueilli par un mage et entraîné dans "La Guilde".
Autant le dire tout de suite, si vous accrochez à Fable, ce ne sera en tous cas pas pour son scénario. Il est d'une nullité affligeante. Les tentatives de rebondissement tombent à plat, l'humour, paraîtrait-il omniprésent, je l'ai pas vu. Une histoire bien bateau qui n'est là que comme excuse pour taper sur tout ce qui bouge.
Et c'est là que Fable devient intéressant. Avec 3 types d'attaques différentes, des coups spéciaux au corps-à-corps, un multiplicateur qui augmente l'expérience gagnée tant qu'on ne se fait pas toucher, les combats de Fable sont très amusants. Heureusement vu la hordes de bandits, mort-vivants et autres erreurs de la nature à annihiler.
La jouabilité est relativement bonne une fois ses barres de raccourcis bien configurées et on prend vite du plaisir à trancher tout ce qui approche à portée d'épée.
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L'histoire du jeu nous plonge, avec une originalité sans faille, dans la peau d'un jeune garçon voyant sa famille se faire tuer par des bandits devenir un héros après avoir été recueilli par un mage et entraîné dans "La Guilde".
Autant le dire tout de suite, si vous accrochez à Fable, ce ne sera en tous cas pas pour son scénario. Il est d'une nullité affligeante. Les tentatives de rebondissement tombent à plat, l'humour, paraîtrait-il omniprésent, je l'ai pas vu. Une histoire bien bateau qui n'est là que comme excuse pour taper sur tout ce qui bouge.
Et c'est là que Fable devient intéressant. Avec 3 types d'attaques différentes, des coups spéciaux au corps-à-corps, un multiplicateur qui augmente l'expérience gagnée tant qu'on ne se fait pas toucher, les combats de Fable sont très amusants. Heureusement vu la hordes de bandits, mort-vivants et autres erreurs de la nature à annihiler.
La jouabilité est relativement bonne une fois ses barres de raccourcis bien configurées et on prend vite du plaisir à trancher tout ce qui approche à portée d'épée.
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Accéder facilement à un CVS sous windows
article de Ceacy
, publié le 10 février 2006 à 00:28
CVS, alias Concurrent Versioning System, est un logiciel libre très utilisé dans le milieu du développement collaboratif : en effet, il permet à une équipe de programmeurs de travailler de concert sur un code source, sans risque que l'un d'entre eux écrase par mégarde le travail effectué par un autre, comme ce pourrait être le cas par FTP : chaque fichier source se voit en effet attribué un numéro de version, incrémenté à chaque modification par un développeur.
Pour plus d'informations sur le fonctionnement pratique de CVS, je vous encourage à lire cet article sur Wikipédia.
CVS est très utile, même si vous n'envisagez pas de contribuer directement au développement d'un projet, car il permet de récupérer aisément la version la plus récente d'un logiciel (généralement un logiciel libre), afin de le compiler et de bénéficier ainsi de ses dernières améliorations. En effet, la plupart des serveurs CVS fournissent un accès anonyme, permettant de récupérer les sources, mais non de les modifier - c'est le cas que nous verrons ici.
Cet article décrit en effet comment récupérer les sources depuis un serveur CVS, sous Windows, à l'aide d'un utilitaire nommé TortoiseCVS. Tout d'abord, il vous faut connaître l'adresse du serveur CVS, et le nom du module que vous souhaitez récupérer. Par exemple, pour amsn, l'adresse est :
"pserver:anonymous@cvs.sourceforge.net:/cvsroot/amsn" et le nom de module "msn".
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Pour plus d'informations sur le fonctionnement pratique de CVS, je vous encourage à lire cet article sur Wikipédia.
CVS est très utile, même si vous n'envisagez pas de contribuer directement au développement d'un projet, car il permet de récupérer aisément la version la plus récente d'un logiciel (généralement un logiciel libre), afin de le compiler et de bénéficier ainsi de ses dernières améliorations. En effet, la plupart des serveurs CVS fournissent un accès anonyme, permettant de récupérer les sources, mais non de les modifier - c'est le cas que nous verrons ici.
Cet article décrit en effet comment récupérer les sources depuis un serveur CVS, sous Windows, à l'aide d'un utilitaire nommé TortoiseCVS. Tout d'abord, il vous faut connaître l'adresse du serveur CVS, et le nom du module que vous souhaitez récupérer. Par exemple, pour amsn, l'adresse est :
"pserver:anonymous@cvs.sourceforge.net:/cvsroot/amsn" et le nom de module "msn".
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Test : Lock On Modern Air Combat
article de Niourk
, publié le 10 février 2006 à 00:28
S'engager dans un genre aussi peu grand public que la simulation aérienne moderne est une preuve indiscutable de la taille des balloches d'Eagle Dynamics. Qui parmi vos proches a envie de s'emm... avec des procédures d'approches, d'engagement BVR, Angel 20, Bulleyes... Hein comment ca qu'est ce que je raconte ? Ben je parle aviation. Eh oui, bienvenue sur Terre, pilote de chasse c'est pas Crimson Skies ou Ace Combat.
En 1998 sortait Falcon 4 de feu Microprose / Atari. Si vous êtes vieux, vous devez avoir près de vous le manuel de 600 pages format A5 qui vous permettait de tenir la discut' avec un pilote de F16 sans passer pour un gland.
5 ans plus tard, une equipe com... euh de Russie (le pays des Russois) décide de titiller LE simu sur son terrain (le pauvre a 5 ans dans la poire, tourne sous DX6... pas téméraires les Cocos). Mais ils ont la rigueur et du chou (quelques Docteurs en Science dans le squad). Et il y a la culture de l'aviation. Tout ça va bien aider à faire un simulateur de chalumeau en règle.
Alors y'a quoi dans Lock On ?
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En 1998 sortait Falcon 4 de feu Microprose / Atari. Si vous êtes vieux, vous devez avoir près de vous le manuel de 600 pages format A5 qui vous permettait de tenir la discut' avec un pilote de F16 sans passer pour un gland.
5 ans plus tard, une equipe com... euh de Russie (le pays des Russois) décide de titiller LE simu sur son terrain (le pauvre a 5 ans dans la poire, tourne sous DX6... pas téméraires les Cocos). Mais ils ont la rigueur et du chou (quelques Docteurs en Science dans le squad). Et il y a la culture de l'aviation. Tout ça va bien aider à faire un simulateur de chalumeau en règle.
Alors y'a quoi dans Lock On ?
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La soupe MISO
article de utr_dragon
, publié le 10 février 2006 à 00:03
Prononcez "misso". Ce plat est ultra populaire au Japon, il est donc très courant et chaque famille à sa propre recette de soupe.
J'ai réalisé un petit mix de plusieurs recettes que j'ai expérimenté pour arriver à un très bon résultat avec des ingrédients que l'on trouve relativement facilement en France.
Temps de préparation : 5 à 10 minutes
Temps de cuisson : 20 à 30 minutes
Ingrédients
*1 oignon (ou 1/2 oignon suivant les préférences)
*1 petite boîte de pousses de soja (aussi appelées pousses de haricot Mungo)
*1 paquet de vermicelles de soja (aussi appelées vermicelles de Haricot Mungo. On les trouve facilement par paquet de 100g dans le commerce car ils sont aussi utilisés pour les nems)
*4 cuillères a café de "Miso" (Il existe 3 types de "MISO". "AKADASHI" - rouge - plutôt fort, "SHIROMISO" - blanc - relativement doux et "AWASEMISO" qui est un mélange des deux précédents. Le MISO est vendu dans les épiceries japonaises et dans les supermarchés chinois, j'en ai trouvé dans le Leclerc à côté de chez moi sous forme de boîte contenant des doses individuelles à usage unique)
*2 cuillères a café de court-bouillon
*1 paquet de champignons noirs déshydratés (ils sont généralement vendus dans des petits paquets de 30g, je crois que la marque "suzi wan" est la plus répandue, mais vous le trouverez aussi sous le label "Tables du Monde")
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J'ai réalisé un petit mix de plusieurs recettes que j'ai expérimenté pour arriver à un très bon résultat avec des ingrédients que l'on trouve relativement facilement en France.
Temps de préparation : 5 à 10 minutes
Temps de cuisson : 20 à 30 minutes
Ingrédients
*1 oignon (ou 1/2 oignon suivant les préférences)
*1 petite boîte de pousses de soja (aussi appelées pousses de haricot Mungo)
*1 paquet de vermicelles de soja (aussi appelées vermicelles de Haricot Mungo. On les trouve facilement par paquet de 100g dans le commerce car ils sont aussi utilisés pour les nems)
*4 cuillères a café de "Miso" (Il existe 3 types de "MISO". "AKADASHI" - rouge - plutôt fort, "SHIROMISO" - blanc - relativement doux et "AWASEMISO" qui est un mélange des deux précédents. Le MISO est vendu dans les épiceries japonaises et dans les supermarchés chinois, j'en ai trouvé dans le Leclerc à côté de chez moi sous forme de boîte contenant des doses individuelles à usage unique)
*2 cuillères a café de court-bouillon
*1 paquet de champignons noirs déshydratés (ils sont généralement vendus dans des petits paquets de 30g, je crois que la marque "suzi wan" est la plus répandue, mais vous le trouverez aussi sous le label "Tables du Monde")
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Test : Battlefield 2
article de Napalm
, publié le 10 février 2006 à 00:03
Battlefield 1942, malgré son netcode kurde, était une réussite et apportait son lot d'originalité. Ce n'était pas vraiment le cas de Battlefield Vietnam par contre. Qu'en est il de Battlefield 2 ?
Pour ceux qui ne connaissent pas Battlefield, c'est un jeu visant essentiellement le multiplayer. Il y a bien un mode solo, mais c'est en fait une espèce de training bâclé avec son lot de bots débiles. On peut y jouer en deathmatch, en CTF ou en "conquest", un capture the flag amélioré, de loin le mode le plus intéressant: là où la majorité des jeux proposent une map avec un drapeau au milieu, dans BF on a un tas de drapeau. En plus, on ne peut même pas les voler, ils sont fixes, et vont passer à la couleur de votre camp quand vous aurez rasé les ennemis alentours et défendu suffisamment longtemps.
Il n'y a aucun ordre de capture, et si les deux team rushent sans défendre, elles vont se contenter d'inverser leurs camps, chacun capturant les drapeaux des autres (à part fort heureusement quelques drapeaux impossible à capturer, les véritables bases de votre camp). Pour éviter que le tout s'éternise pendant 4h00 à chaque map, ils ont mis en place un système assez fun de "tickets" : au début du jeu, chaque camp commence avec un nombre de ticket identique. A chaque fois qu'un de vos coéquipiers meurt, vous en perdez un.
Dès que votre team contrôle plus de drapeaux que l'ennemi, leurs nombres de tickets vont baisser petit à petit.
C'est là que la tactique commence: si vous tombez dans un team de gros boeufs qui jouent deathmatch et que personne ne s'occupe de la défense des drapeaux, vos chances de gagner vont êtres réduites.
Pareillement, les médics jouent un rôle crucial: Chaque type ressuscité économisera un précieux ticket.
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Pour ceux qui ne connaissent pas Battlefield, c'est un jeu visant essentiellement le multiplayer. Il y a bien un mode solo, mais c'est en fait une espèce de training bâclé avec son lot de bots débiles. On peut y jouer en deathmatch, en CTF ou en "conquest", un capture the flag amélioré, de loin le mode le plus intéressant: là où la majorité des jeux proposent une map avec un drapeau au milieu, dans BF on a un tas de drapeau. En plus, on ne peut même pas les voler, ils sont fixes, et vont passer à la couleur de votre camp quand vous aurez rasé les ennemis alentours et défendu suffisamment longtemps.
Il n'y a aucun ordre de capture, et si les deux team rushent sans défendre, elles vont se contenter d'inverser leurs camps, chacun capturant les drapeaux des autres (à part fort heureusement quelques drapeaux impossible à capturer, les véritables bases de votre camp). Pour éviter que le tout s'éternise pendant 4h00 à chaque map, ils ont mis en place un système assez fun de "tickets" : au début du jeu, chaque camp commence avec un nombre de ticket identique. A chaque fois qu'un de vos coéquipiers meurt, vous en perdez un.
Dès que votre team contrôle plus de drapeaux que l'ennemi, leurs nombres de tickets vont baisser petit à petit.
C'est là que la tactique commence: si vous tombez dans un team de gros boeufs qui jouent deathmatch et que personne ne s'occupe de la défense des drapeaux, vos chances de gagner vont êtres réduites.
Pareillement, les médics jouent un rôle crucial: Chaque type ressuscité économisera un précieux ticket.
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Test : Il2 Sturmovik Forgotten Battles
article de Napalm
, publié le 10 février 2006 à 00:03
Il2 Sturmovik avait lors de sa sortie en 2001 impressionné les fans de simulation aérienne par son réalisme et sa qualité graphique.
L'équipe de Maddox games n'en est pas restée là et a sorti par la suite Il2 Sturmovik Forgotten Battles, son add on, pacific fighters, et travaille actuellement sur Battle of Britain.
Qu'est ce que ce jeu au nom barbare? C'est un simulateur de vol développé par une équipe russe, qui avait pour but de nous faire découvrir une partie un peu oubliée de la guerre 40, les batailles du front Est. Même si on à le cerveau lavé par des dizaines de jeux sur la seconde guerre mondiale, en général c'était les Alliés contre l'Allemagne et basta (erreur réparée avec la tripotée de jeux plus récents sur le même sujet).
Il2 Sturmovik Forgotten Battle est un "add on stand alone". Vous n'aurez donc pas besoin d'IL2 pour y jouer. Rassurez-vous, si vous avez le premier IL2 sur votre étagère, vous pourrez coller le dossier contenant les missions originelles dedans pour profiter des nouvelles textures hautes résolutions et des autres améliorations du moteur. Comme tout les Simulateurs de vol, IL2: FB nécessitera une bonne machine pour tourner à fond (si vous voulez mettre du FSAA ou de l'anisotropie sur des maps offrant une visibilité sur plusieurs km, selon l'âge de votre pc ça va plutôt ressembler à un diaporama). Cependant, il est très bien optimisé et pourra tourner correctement sur des machines moyennes: il y a un paquet de réglages prédéfinis pour les cartes graphiques les plus courantes, et on peut bricoler soi même en tripotant tout un tas d'options dans le .ini, par exemple baisser/augmenter à la main la qualité des arbres, de l'eau, des nuages... Pour des réglages plus personnalisés si ceux du launcher ne
vous satisfont pas.
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L'équipe de Maddox games n'en est pas restée là et a sorti par la suite Il2 Sturmovik Forgotten Battles, son add on, pacific fighters, et travaille actuellement sur Battle of Britain.
Qu'est ce que ce jeu au nom barbare? C'est un simulateur de vol développé par une équipe russe, qui avait pour but de nous faire découvrir une partie un peu oubliée de la guerre 40, les batailles du front Est. Même si on à le cerveau lavé par des dizaines de jeux sur la seconde guerre mondiale, en général c'était les Alliés contre l'Allemagne et basta (erreur réparée avec la tripotée de jeux plus récents sur le même sujet).
Il2 Sturmovik Forgotten Battle est un "add on stand alone". Vous n'aurez donc pas besoin d'IL2 pour y jouer. Rassurez-vous, si vous avez le premier IL2 sur votre étagère, vous pourrez coller le dossier contenant les missions originelles dedans pour profiter des nouvelles textures hautes résolutions et des autres améliorations du moteur. Comme tout les Simulateurs de vol, IL2: FB nécessitera une bonne machine pour tourner à fond (si vous voulez mettre du FSAA ou de l'anisotropie sur des maps offrant une visibilité sur plusieurs km, selon l'âge de votre pc ça va plutôt ressembler à un diaporama). Cependant, il est très bien optimisé et pourra tourner correctement sur des machines moyennes: il y a un paquet de réglages prédéfinis pour les cartes graphiques les plus courantes, et on peut bricoler soi même en tripotant tout un tas d'options dans le .ini, par exemple baisser/augmenter à la main la qualité des arbres, de l'eau, des nuages... Pour des réglages plus personnalisés si ceux du launcher ne
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