Les gens qui n'écrivent pas les gros mots en entier et mettent deux points de suspension au milieu en se croyant extrêmement polis et fins.
Exemple : "quelle musique de m...de"
Ben non, c'est ce n'est ni poli (le fait que tu ne l'écrives pas en entier n'enlève rien au fait que c'est bien un gros mot et que tu n'as juste pas les c...illes de l'assumer), ni fin (c'est au contraire d'une grande lourdeur à la lecture et surtout une concession à une sorte de puritanisme stylistique).
Si tu n'arrives pas à assumer le fait que tu vas écrire un gros mot, retiens tes petits doigts (forcément boudinés) et ne touche pas le clavier. Le monde tournera plus rond pendant quelques secondes.
A l'oral, les gens qui parlent en se sentant obligés de rajouter du "entre guillemets" tout le temps.
Et en faisant le signe avec le mains, histoire de bien faire comprendre aux neuneus qui l'écoutent que non, ce n'est pas vraiment ce qu'ils pensent eux mais que, quand même, quoi, c'est tout de même pas faux, hein ?
Mais connard (écrit en toutes lettres), de deux choses l'une : ou bien tu dis quelque chose et tu assumes tes propos, ou bien tu te tais.
Et le monde tournera surement plus rond pendant quelques secondes...
Et si c'est pas le cas, ça vaut quand même le coup d'essayer.
ecrans.fr : les vrais articles se font rare, le plus souvent ce n'est plus que le déversoir de la version papier : des articles pompeux bourrés de clichés, je sais même pas lequel est le pire aujourd'hui entre Rock-Band Beatles ou James Cameron - Avatar.
Je suis le seul à ne pas voir ce qu'il y a d'exceptionnel dans Avatar ? J'ai trouvé l'histoire (telle qu'elle est suggérée dans le trailer) quelconque et le design douteux ...
Les "serious games". Le nouvel alibi pour parler des jeux vidéo dans les "vrais" médias.
On n'oublie pas l'accroche qui tue : "on reproche souvent aux jeux vidéos leurs problèmes de violence ou d'addiction mais avec la nouvelle tendance des siriousses guèmess l'image du média est-elle enfin en train de changer ? Un sujet de Régis Martin."
Et un jeu pour lequel il faut endurer une saloperie de "fail day niveau 50" avant de pouvoir jouer à 2 avec Coni, ça s'appelle comment HEIN? PARCEQUE LA ON CRAQUE§§
Steam qui te télécharge une màj pour un jeu au moment où tu le lances pour faire une partie pépère un dimanche aprem avec zeb.
FAIL NIVEAU 15 REACHED, PLIZ REBOOT LOL §
Dernière modification le 20/09/09 à 20:51 par Conikafik
Conikafik a écrit
Steam qui te télécharge une màj pour un jeu au moment où tu le lances pour faire une partie pépère un dimanche aprem avec zeb.
FAIL NIVEAU 15 REACHED, PLIZ REBOOT LOL §
'tain comme ça m'avait saoulé pendant la démo (limité en temps) de Left 4 Dead...
Magic Epic Fail. 22:47. On ne peut jouer ensemble.
Ma version de Russe n'accepte pas le jeu online, je m'en doutais ceci dit. Mais même Steam ne veut pas que j'achète le jeu (achat qui le vaut en plus), j'ai eu 3 erreurs différentes. This is what I call a feckin failing sunday!
J'ai lu avec attention vos mésaventures avec le Pôle Emploi / La Poste / EDF et compagnie dans les blogs, je me suis bien marré (avouez que d'un point de vue extérieur, c'est drôle...). Il m'est arrivé un truc dans le genre avec Czech Airlines (toutes proportions gardées), en voici le récit. Je poste ça ici car je ne veux pas polluer mon joli blog avec ces futilités, et ça correspond bien au titre du sujet.
Les données du problèmes : je pars un mois en Slovaquie. Après mûres réflexions, je décide d'y aller en avion plutôt que de prendre ma voiture ou le train. Je regarde donc un peu les prix des diverses compagnies qui desservent Bratislava et opte finalement pour Czech Airlines. Au moment de prendre les billets, je ne sais pas encore trop quel trajet je suis susceptible de faire sur place. Dans le doute je coche la case "aller-retour", c'est plus simple. Me voilà donc en possession d'une réservation pour 4 vols (il y a une correspondance) : Paris-Prague, Prague-Bratislava, Bratislava-Prague, Prague-Paris. Bien.
Je pars donc. Premier aléa, ma tente se perd en route. Elle était comme d'hab' (bien) accrochée en haut de mon sac à dos, par manque de place à l'intérieur. Je n'ai jamais eu de problèmes auparavant, mais là, point de tente à l'arrivée, juste le sac. Un bagagiste indélicat qui s'est servi, un voyage un peu trop mouvementé ? Je ne saurais probablement jamais. Et puis qu'importe, là n'est pas vraiment le cœur du problème.
Je passe 3 semaines à arpenter la Slovaquie. Ayant vu tout ce que je voulais voir, je change mes plans et décide de passer la dernière semaine à visiter les capitales européennes alentours. Je passe donc 2 jours à Budapest, 2 jours à Vienne et pour finir 3 jours à Prague. En arrivant à Prague, je réalise évidemment qu'il serait plus simple pour moi de repartir directement depuis la capitale tchèque plutôt que de retourner à Bratislava. Autrement dit, j'ai plutôt intérêt à zapper le premier vol de retour et à prendre directement le second.
Mais je sais par expérience que lorsqu'on ne se présente pas au premier vol d'un trajet à escale, cela annule automatiquement le reste de la réservation. Dès mon arrivée à Prague, mon premier geste est donc d'aller à l'aéroport de Prague pour expliquer ma situation au comptoir de la compagnie aérienne, où m'accueillent trois quintaux de chair adipeuse aussi gracieux qu'un morse. Muni de mon plus beau sourire, j'explique calmement ma situation. Je voudrais simplement faire en sorte que mon absence à l'embarquement de Bratislava n'entraîne pas l'annulation automatique de mon second vol et que je puisse prendre directement ce dernier.
Je ne demande évidemment aucun remboursement, je veux juste pouvoir prendre un seul des deux vols que j'ai payés. Ça ne coûte strictement rien à la compagnie. Au contraire, je leur explique qu'ils ont alors tout le loisir de refourguer ma place du vol Bratislava-Prague à un autre passager, et donc de vendre un siège deux fois, tout bénéf' pour eux. Nous sommes alors mercredi après-midi, le départ est samedi matin, tout le temps de trouver un autre passager. Et au pire, ça fait un siège vide mais payé, et ça économise un soupçon de kérosène.
Or l'opération, qui semble pourtant toute simple au premier quidam pourvu d'un minimum de bon sens, paraît tout à fait impossible à mon interlocutrice. Après avoir pianoté sur son ordinateur, elle me dit finalement qu'il existe bien un moyen, mais qu'il faut changer ma réservation, un service évidemment facturé... Je lui demande combien coûte l'opération, elle calcule : plus de 250 € ! Sachant qu'au total, j'ai payé mon aller-retour 216 €, je commence à nager en plein délire...
Je commence à m'énerver et lui explique que ça n'a pas de sens de faire payer un tel changement plus cher que le total de la réservation. Mieux, je lui demande combien me coûterais un vol Prague-Bratislava le vendredi soir pour aller prendre mon avion Bratislava-Prague le samedi matin (vous suivez toujours ?), afin de faire les choses comme elles étaient prévues et de ne pas trop les perturber... Évidemment, c'est beaucoup moins cher. Fort de cet argument, je tente de lui démontrer qu'il est parfaitement absurde qu'il me soit moins onéreux d'acheter un troisième vol pour aller prendre les deux autres que de n'en prendre qu'un seul.
Rien à faire, je me heurte à un mur mal baisé qui, s'il avait pris un bon coup de bite dans les vingt dernières années, aurait peut-être eu un minimum de pitié de ma personne. Voyant qu'il n'y a pas moyen de négocier, j'abandonne. Résultat des courses : vendredi soir, j'ai fait Prague-Bratislava en train, pour refaire le chemin inverse en avion quelques heures plus tard... D'une logique implacable.
Alors vous allez me dire que je n'avais qu'à mieux préparer mon voyage, et vous n'auriez pas tort. J'ai effectivement merdé dans la planification, mais bon, même si j'aime bien improviser un peu, je voulais tout de même être muni d'un ticket de retour avant de partir, histoire d'être sûr de rentrer à temps. Il n'empêche que ne pas pouvoir choisir de ne prendre qu'un seul vol sur les deux qu'on a payé, c'est une absurdité sans nom qui frise l'escroquerie.
Joe Le Mérou